Madère, terre de contraste (4) et fin.
MADERE suite et fin de nos aventures.
Samedi 13/10/2012
7h, le jour se lève, il fait un temps magnifique, une nouvelle belle
journée s'annonce, il faut en profiter, notre séjour se termine...
7h30, petit déjeuner puis nous récupérons notre pique-nique et
départ à 8h30.
Au programme aujourd'hui :
Randonnée pour la journée de"Ribeiro Frio à Portela"
Vue du car en partant vers Porto Moniz, au départ de la randonnée.
L’ile de Madère offre de nombreux parcours de randonnée pédestre,
situés notamment au cœur de la forêt classée Patrimoine Mondial
par l'UNESCO.
On y découvre les plus beaux paysages de Madère, ainsi qu’une flore
et une faune exceptionnelle.
Départ de la rando qui commence à Ribeiro Frio, il fait frais.
La ballade se fait à 860m d’altitude le long de la levada du Furado,
en direction du belvédère de Portela, dans la commune de Machico.
Ella a une distance de 11km, dure environ 4heures et offre de
magnifiques vues sur la montagne, les vallées, les villages et le littoral atlantique.
Le centre de l’île est hérissé de nombreux pics acérés, alors que
la partie nord-ouest est constituée d’un étonnant haut-plateau le
plus souvent noyé dans les nuages.
L'allée en sous bois fait place à un chemin plus étroit dominant
les montagnes avoisinantes et les vallées en contrebas.
Pour commencer nous longeons la Levada da Serra do Faial.
Cette rando est réputée pour les jeux d'ombre et de lumière sur
la végétation (lauriers, bruyères arborescentes) qui nous
accompagnent. La première partie de cette levada se révèle très
bucolique avec le léger clapotis de l'eau, le calme du sous bois,
bref une atmosphère de totale quiétude.
Aujourd'hui on a un peu de mal avec le groupe pas très discipliné...
Gérard essaye de remettre de l'ordre mais difficilement!
Parfaitement entretenues, les levadas sont longées par un sentier
qui se rétrécit parfois selon le relief ou au contraire s'élargit pour
devenir une véritable allée. Ce sentier permet d'ailleurs au "levadeiro"
de vérifier régulièrement la propreté des canaux, se chargeant de
retirer branches et feuilles qui peuvent obstruer le passage de l'eau.
Au long de cette levada nous pouvons contempler les multi variétés
aux tons vert, de cette exceptionnelle forêt naturelle de l'île:
"La Laurissilve de Madère" constituée majoritairement par le Laurier.
Fougères arborescentes
Plus l’on monte en altitude et plus la flore devient hygrophile, tant
l’humidité est présente sur les hauteurs de Madère
Pinson de Madère guettant de la nourriture dans la main d'André Adami
Jean Claude Deckmyn guettant le pinson ...l'a pris en plein vol
venant chercher la nourriture..Bravo Jean Claude pour la rapidité.
Le milieu humide pendant presque toute l’année assure une
fascination supplémentaire à la balade.
L’île de Madère par son relief escarpé, ses origines volcaniques
et son climat ont donné un sens particulier à la randonnée.
Le parcours possède tout ce qui rend un chemin de levada intéressant:
des chemins dans le rocher, des tunnels et avant tout la végétation
généreuse d’une forêt subtropicale des montagnes.
De nombreux tunnels, tous différents rendent ce parcours intéressant.
Le paysage est dominé par la vallée de Ribeiro Frio où de nombreux
champs agricoles s'étalent et surprennent par leur configuration
(petites parcelles.. partout où il y a un bout de terrain).
Autres tunnels sous lesquels nous passons, c'est très joli!
Midi, nous arrivons à la "Maison de division des eaux" où nous
décidons de faire l'arrêt pique nique.
La veille nous avions demandé 1 euro à chaque personne pour
acheter 3 bouteilles de Madère en guise d'apéro!!
C'est André Adami qui avait fait l'achat en choisissant deux qualités
de Madère, doux et mi-doux;
Ces Messieurs sont au service...
Certains vont se servir, d'autres se font servir...
Cathy et Chantal, deux bonnes vivantes!!!
Enia qui ne boit pas, assiste à cette "petite beuverie" se demandant
peut-être comment elle va ramener le groupe???
Jeanine à gauche se remet d'une chute...Comme la forêt est humide,
le sol est parfois glissant!
Ici, c'est Josy avant les effets du Madère.........
Chacun a trouvé un petit coin pour s'installer..
Pour nous, c'est presque les pieds dans l'eau....
Et voici nos bracelets 'All inclusive"....que nous faisons chauffer
chaque soir et plus encore..
Après le repas nous repartons alors que Josy ressent les effet
du Madère, il faut dire qu'il ne lui en faut pas beaucoup!
Elle ne marche pas très droit...on la tient!
La Tibouchina, aussi appelée la fleur araignée est une fleur
originaire du Brésil. Cette fleur est de couleur violette, et fleurit
de Juillet à Octobre.
Le surnom de la Tibouchina, fleur araignée vient de ses grandes
étamines ressemblant à des pattes en mouvement.
A Madère, les hortensias sont très communs dans les zones de
moyenne altitude, dans les jardins, et au bord des routes et chemins.
ILs sont originaires de Chine et fleurissent plutôt en été.
Rhododendron rouge; ce sont de petits arbustes très cultivés à Madère
qui donnent des fleurs blanches ou de différents tons de rouge
Arlette et Jean Paul posant devant cette fougère arborescente
dans cet endroit très bucolique..
Nous terminons le parcours par ce chemin en terre battue le
long de Levada da Portela; Nous passons sous cet arbre tombé.
Diverses variétés de fruits de la passion sont cultivées à Madère,
toutes avec de curieuses fleurs.Les fruits d'entre elles se
consomment et sont riches en jus rafraichissant et parfumé.
Vue de la côte nord depuis Portela.
Madère doit ses particularités climatologiques à sa position
géographique et situation océanique. Le climat est caractérisé
par des températures douces et peu variables tout au long de
l’année. Celles-ci ne chutent jamais en dessous de 15°C et ne
dépassent guère 25°C en été.
Il faut cependant modérer ces chiffres car en altitude la
température chute sensiblement ;
Après une longue descente par de larges marches, nous arrivons
à Portela. Portela est une petite bourgade dans les hauteurs de la
côte nord est de l'île de Madère.
Elle offre des vues impressionantes sur la côte.
A la sortie du chemin nous arrivons directement sur un belvédère
où nous pouvons admirer différents sites;
Quelques vendeurs de fleurs, graines et bulbes sont là pour nous
tenter.. Et bien sûr, nous qui aimons les fleurs nous laissons tenter..
Après cet intermède, nous reprenons notre car pour nous rendre
à Camacha où nous sommes attendus pour boire thé ou café et
déguster le gateau local, Bolo do mel ou Bolo do cacao.
Camacha est l’un des villages les plus ruraux et les plus pittoresques
de Madère.
Il est connu dans le monde entier pour son industrie de paniers en
osier et ses traditions folkloriques colorées.
L'église paroissiale (Construite en 1997 avec une architecture moderne)
Intérieur de l'église de Camacha
Orchidée
Camacha, une toiture particulière
Vue d'ensemble de la toiture qui rappelle le style asiatique.
Camacha célèbre sa traditionnelle fête de la Pomme, avec de
nombreuses animations, des chants et danses folkloriques.
Nous avons de la chance car en ce moment, c'est la fête de la pomme!
Les pommes sont présentées sous forme de grosses grappes!
Un petit marché bien sympathique avec les produits locaux
Il y a également des démonstrations de fabrication de cidre au
pressoir tout au long de la journée, où les locaux et les touristes
ont la chance de découvrir cette ancienne technique et de goûter
le succulent cidre de pommes fraîchement pressé, le Cidra.
Après la visite nous retournons au car pour rentrer sur Funchal.
Merci Jean Claude, pour tes prises de vue..
Et nous voici de retour à l'hôtel et devant le traditionnel apéro
que personne ne manque...
Un petit tour des table s et des verres...
Pour les Perrin, la "poncha" ça marche....
Ce soir nous sommes une vingtaine à aller manger au restaurant
"Madérien"de l'hôtel.
Il faut dire qu'on peut 1 fois dans la semaine manger aux 3 restaurants:
Madérien, Italien et Chinois
Certains ont testé les trois ou deux ou juste le Madérien!
Une des tables au cours de notre repas madérien;
Chapeau madérien de rigueur....
Andrée Flandin avec Gilbert et Jeanine, ses gentils voisins
qui nous ont accompagné pour ce voyage.
Moi dans les cannes à sucre servant de plantes dans les jardins
de l'hôtel et me rappelant cette Guadeloupe où j'ai passé de si
bons moments.
Ces dames se prélassent après le repas madérien et avant de
rejoindre les chambres;
Dimanche 14/10/2012
Ce matin, lever 7h, il fait toujours très beau
Petit déjeuner à 7h30 et départ à 8h30
Aujourd'hui, au programme :
Porto Moniz pour une petite rando de 2h puis visite du village.
Nous allons passer du Sud de l'île au Nord.
Seulement 75 kilomètres de route séparent la capitale de Madère,
Funchal, du petit village de Porto Moniz sis à la pointe nord-ouest
de l’île. Mais, sur toute cette distance, on est convié à une longue
et ininterrompue suite de paysages époustouflants!
Des routes sinueuses aux mille tunnels!
Il tombe quelques gouttes et ce bel arc en ciel, est inquiètant
pour la suite de notre matinée à Porto Moniz
Une petite promenade au bord de mer nous permet de découvrir
une côte ensorcelante!
Les vagues de l’océan se brisent sur de multiples rochers.
Ça et là des piscines naturelles se sont creusées et les abords
ont été aménagés par l’homme.
Michèle a toujours froid et moi toujours chaud....mais compte tenu
du temps aujourd'hui, je reconnais n'être pas assez couverte et ça
fait bien rire Michèle!
J'ai même décidé de ne pas faire la rando car la pluie menace trop!
Marie Thérèse et Roger en ont décidé de même....
L’eau de l’océan est couleur d’encre, un bleu incomparable.
C’est tout simplement magique!
Situé à l'opposé de Funchal sur la côte nord, Porto Moniz porte
le nom d'un des premiers colons à l'avoir investi : Francisco Moniz.
La ville est une petite station balnéaire très à la mode. Elle attire les
touristes mais aussi les autochtones par ses piscines naturelles.
Alors que le car repart vers le départ de la rando, nous sommes une
douzaine à rester à Porto Moniz. Chacun s'occupe comme il veut.
Michèle, Marie Thérèse, Roger et moi, longeons la promenade du
bord de mer admirant cette mer déchaînée.
Tout le long, de beaux points de vue sont un régal pour nos yeux.
Photo d'un mini-groupe....mais où sont passés les autres?
Rassembler 33 personnes est pratiquement impossible,
et à la veille de notre départ je n'ai toujours pas réussi!!
Oiseau de Paradis, nom qui provient de la forme curieuse
de ses fleurs semblables à une tête d'oiseau.
Jolie maison madérienne
Ancienne maison madérienne restée en l'état, il faut dire que
Porto Moniz est l’une des communes les plus anciennes du nord de l’île.
Roger s'est acheté un imperméable... L'église blanche date de 1668
Porto Moniz se divise en deux secteurs : un bourg agricole en hauteur
autour d'une église, et une ville basse où l'on peut se baigner dans des
piscines naturelles.
Intérieur de la petite église
De nombreux hôteliers ont vu dans cette ville une opportunité
d'installation. Depuis, beaucoup d'hôtels ont poussé à travers
les potagers. Mais il faut savoir que le centre-ville reste intact
et conserve son charme naturel.
Comme nous avions du temps, nous avons décidé d'aller visiter la partie
haute de Porto Moniz, mais une grosse averse nous a surpris et avec les
moyens du bord nous avons dû faire face...Imper pour deux et abri-bus...
Il n'y a que Roger qui est équipé...nous, nous sommes trempées!
La ville de Porto Moniz se situe à l'extrême nord-ouest de l'île et
peut être considérée comme un des importants producteurs de
vin et fournisseurs de poisson de l'île. L'isolement de Porto Moniz
l'a rendue autonome jusqu'il y a très peu, sa population vivait de
son agriculture en terrasse et de sa pêche locale. C'est le tourisme
qui a ouvert cette ville portuaire bien protégée.
Un avocatier
Hibiscus jaune double
En longeant la promenade, on peut trouver quelques cafés, restaurants,
boutiques de souvenirs et autres...
Etant très mouillés, avec Michèle, Marie Thérèse et Roger nous allons
nous mettre à l'abri dans un bar et nous réchauffer avec un thé bien chaud.
Puis lorsque la pluie a cessé et en attendant le retour des randonneurs,
nous assistons au spectacle impressionnant des vagues qui s'abattent
furieusement sur la côte.
Rochers sombres, mer bleu turquoise, écume blanche, c'est la côte nord!
Les randonneurs sont revenus trempés eux aussi et encore plus que
nous... 2h sous la pluie, ça laisse des traces...ils ont toujours le sourire,
ça va! Nous repartons vers Funchal où nous retrouvons le soleil avec
grand plaisir.
Cet après midi étant libre, ceux n'ayant pas pris l'option "Safari en 4x4"
sont autonomes et moins pressés que nous, les 17 aventuriers...
Il faut manger vite pour être à 14h30 au départ des 4x4. Quelle vie!
14h30, nos 3 4x4 sont là avec nos "chauffeurs-guides"
On s'installe dedans; Nous sommes 6 par 4x4.
Ce sont de véritables véhicules de "combat", particulièrement à l'aise
sur des chemins accidentés, équipés de pneus à crampons et de moteurs
très puissants, c'est plutôt rassurant!
Les chauffeurs sont sympathiques. Dans un français correct, ils nous
présentent l'île durant le trajet nous menant aux montagnes.
Au départ, ce sont de très étroites rues pentues de Funchal que
nous empruntons...nous ne sommes toujours pas très rassurés!
Heureusement le spectacle nous fait oublier nos inquiétudes.
Au détour d'un chemin, un spectacle incroyable nous est offert.
Du haut de nos montagnes, vue panoramique sur Funchal
Les sensations sont au rendez-vous... Imaginez-vous, à l'arrière d'un
tout terrain gravissant une pente vraiment escarpée...
Nous réussissons malgré tout à nous maintenir assis... et à profiter de
la splendeur de l'arrière pays madérien.
Michèle se tient le ventre.....Il faut se cramponner pour ne pas
tomber des sièges...On se demande même si nous ne serions pas
mieux assises parterre?
Cette balade insolite en 4X4 est le fruit d'une quête à la recherche
des plus beaux sites de montagne que nous n'avions pas encore vu!
Nous ne regrettons pas d'avoir choisi cette option un peu chère....
Ce "Caminho Real" part du belvédère de Boca da Corrida et se termine
sur la Route Régionale à Encumeada. Le parcours se situe entre 940 et
1340m d’altitude, traversant le Massif Montagneux Central, au pied des
pics les plus hauts de l’île de Madère.
Une partie du groupe devant un de nos 4x4, au cours d'un
de nos nombreux arrêts.
Géraniums de Madère
Quelle aventure! qui se soldera par un verre de "poncha" et
des"pieds et couennes" de cochon offertes en dégustation,
dans un village de montagne.
Vivons dangereusement! Je n'aime pas trop les abats alors j'hésite.
En fin de compte, j'aime bien car c'est très goûteux, et je ne suis pas
la seule à aimer, aussi on nous rapporte une assiette!
Roland attend son verre de poncha, et les couennes et pieds
nous attendent!
Après cette halte sympathique, nous reprenons nos 4x4 pour la suite
des aventures..Le chemin est de pire en pire d'énormes crevasses nous
font pencher comme si nous allions basculer...
rires et cris ponctuent la balade!
Nous traversons une superbe forêt d'eucalyptus bordée d'hortensias;
Magnifique décor! Ne faisons-nous pas "explorateurs"?
Ayant un toit ouvrant nous les photographes, restons tous debout
afin de mieux immortaliser ces lieux extraordinaires.
Après avoir vécu quelques heures d'aventures nous revenons par une
petite route où notre chauffeur nous arrête régulièrement pour le coup
d'oeil et les explications.
Ci- dessous, cultures sur terrains en pentes..
Et là, point de vue sur la côte et Funchal
Sur les hauteurs, on rencontre des plantations de canne à sucre
et de bananiers qui se côtoient.
Puis c'est la redescente sur Funchal et sa côte touristique..
Dernier jour à Madère, dernier apéro....nous aurions bien rempilé
pour une semaine...mais tout a une fin!
Un aperçu des tablées...
Comme au début, tout le monde est là, Bravo à tous d'avoir
su créer cette unité dans le groupe!
Lundi 15/10/2012 C'est le départ.....
Lever à 7h15, très beau temps qui donne des regrets de partir
7h45, petit déjeuner puis nous remontons aux chambres pour
terminer nos bagages; Comme d'habitude, ceux-ci semblent
bien plus lourds qu'à l'arrivée et nous inquiètent un peu.
Il faut savoir que nous sommes limités à 15kg!!!
Dernier regard sur ce cadre devenu habituel, et tellement beau!
Une fois les bagages descendus, il nous reste un peu de temps avant
de partir pour l'aéroport.
Nous allons faire une dernière balade sur la promenade le long de la mer.
Ci-dessous, un arbre du voyageur..
Les bougainvilliers font partie de la flore époustouflante de Madère;
Il est l'heure de partir mais pas tout à fait l'heure de l'apéro...
Et pourtant il nous faut une dernière poncha pour le moral!!!
Il est 13h35, nous sommes à l'aéroport et faisons une queue
pas possible pour enregistrer nos bagages...
Gilbert enregistre avec moi qui ai une valise plus légère cela
afin de compenser son surpoids de bagages et ne pas être taxé.
Tout se passe bien, tous les bagages sont OK!
Une fois en salle d'embarquement nous n'attendons pas, nous
montons directement dans l'avion!
Voici l'avion que nous allons prendre...Cie Air Méditerranée
Décollage à 14h15, seul problème, dans cet avion on ne donne
pas de repas ni d'en-cas, aussi ceux qui n'avaient rien prévu
vont rester à jeun jusqu'à Marseille!
Le voyage se passe bien, ce n'est pas très long : 3h50 de vol.
On ne voit même pas le temps passer, on papote, on se balade.
Ici survol de Martigues, nous approchons de Marseille.
18h, nous arrivons à Marseille où nous commençons par sortir
nos pulls, il fait très froid, il y a du mistral!
Nous étions habitués à la douceur du climat tropical de Madère...
Une fois nos bagages récupérés nous sortons de l'aéroport; Il est
bien agréable de trouver le car SABARDU devant, pour nous
ramener aux Pennes Mirabeau pour ceux y ayant laissé leurs
vèhicules et à Marseille pour les autres.
Petit à petit nous nous séparons, heureux d'avoir passé ce très beau
séjour ensemble, séjour qui s'est magnifiquement bien passé.
Un grand Merci à SABARDU et à notre correspondant Guillaume
pour la qualité et l'organisation de ce séjour.
Merci ENIA notre gentille petite guide.
Une chose est certaine nous repartirons avec eux pour de nouvelles
aventures ou destinations!
Merci à vous tous pour votre bon comportement ce qui a simplifié
les rapports entre les personnes sachant que nous étions 33 dont
11 personnes de l'extérieur. Il y a eu une belle cohésion ce qui a
fait de ce séjour une vraie réussite!
Merci à Jean Claude Deckmyn pour avoir complété mes photos avec
les siennes, ce qui permet un plus beau reportage.
Merci à Michel Flandin qui même s'il n'est pas venu avec nous, a géré
toute la partie financière du séjour et les contacts avec Sabardu.
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